Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne n'a pas été libéré mais plutôt « relaxé » samedi 17 juillet soir, selon les termes du procureur près le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe. Après confrontation et vérification des faits au parquet, a-t-il précisé, il ne s'agit pas de viol mais plutôt de « tentative de harcèlement présumé sur une mineure ». C'est le fait infractionnel retenu à sa charge dont le Parquet va poursuivre l'instruction le lundi.



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