Deux mois après l'arrestation de l'ancien conseiller spécial du Chef de l'Etat en matière de sécurité, François Beya, les organisations des droits de l'homme et certains parlementaires dénoncent la " violation de ses droits fondamentaux " garantis par la constitution du pays.
François Beya est détenu arbitrairement, disent-ils, depuis le 05 février dernier, dans un local de l'Agence nationale de renseignements où il serait privé de tous ses droits.
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