Ils exigent une réaction plus robuste et offensive vis-à-vis des groupes armés.

La Monusco quant à elle exige plus de moyens en hommes et en équipements. Elle demande des capacités conventionnelles croissantes car elle est de plus en plus confrontée à des menaces qui dépassent ses capacités.

Elle n'arrive toujours à s'imposer comme une force dissuasive sur le terrain. Et c'est cela qui exaspère la population.

La Monusco essui des critiques quant a son efficacité sur la protection des civils. Et plusieurs voix, et non des moindres réclament t son retrait.

La dernière en date est celle du très influent Bahati Lukwebo, Président du Senat Congolais.

Elle est présente en RDC depuis 1999, avec un effectif de 20000 hommes et un budget 1,5 milliards des dollars américains. Mais son bilan largement mitige sur le plan opérationnel.

Depuis vingt trois ans qu'ils sont présents en RDC on ne peut pas dire qu'il n'y a personne qui soit content deux. Ils sont accises de passivité.

Des manifestations citoyennes s'organisent régulièrement pur demander leur départ cat incapables de protéger les civils.

La demande du départ des casques bleus s'accentue

Tite Gatabazi



Source : https://fr.igihe.com/De-la-discorde-entre-la-Monusco-et-la-RDC.html