
Elle s'est appuyée sur les données de l'Enquête nationale américaine sur la santé et la nutrition auprès de 2.482 adultes pour réaliser une analyse transversale en série, basée sur la population.
L'étude a révélé que parmi les adultes actuellement diagnostiqués comme diabétiques et recevant de l'insuline, les personnes s'identifiant comme Américains d'origine mexicaine ou Noirs non hispaniques présentaient la plus forte prévalence d'hyperglycémie sévère.
Ces deux groupes démographiques chez qui l'on a prescrit de l'insuline avaient respectivement 2,29 et 2,48 fois plus de chances de présenter une hyperglycémie sévère que les Blancs non hispaniques, selon elle.
Cette tendance suggère que les disparités raciales peuvent jouer un rôle dans les résultats actuels du diabète et qu'elles pourraient même s'accroître, selon l'étude.

Xinhua
0 Commentaires