La fondation Bill Clinton pour la paix dénombre de janvier à février de cette année, 70 morts et interpelle le gouvernement sur son silence. Les damnés de la justice meurent de l'étouffement à la prison centrale de Makala, centre pénitentiaire surpeuplé par les magistrats.
Jusque mardi 28 février, les statistiques donnent 10.790 pensionnaires dont 25% seulement sont des condamnés pour une capacité d'accueil initiale de 1500 pensionnaires.
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