Le chef d'État a relevé ces observations le mercredi 12/ avril/2023 lors de son intervention dans le cadre du 10e anniversaire du Columbia Global Energy Summit, un sommet sur les défis énergétiques mondiaux organisé par l'Université de Columbia, à New-York aux Etats-Unis.
Le Président Paul Kagame a aussi déclaré que le continent africain était ouvert aux investissements dans le domaine de l'énergie, étant donné que la majorité de sa population n'a pas accès à l'électricité. Cependant, il a souligné que l'amélioration de l'accès à l'énergie ne peut se réaliser que si les déséquilibres mondiaux dans le secteur sont pris en compte.
Le sommet auquel a pris part Paul Kagameest organisé par le Centre sur la politique énergétique mondiale (CGEP) de l'École des affaires internationales et publiques[Center on Global Energy Policy (CGEP) of the School of International and Public Affairs] de l'Université Columbia.
Le sommet réuni des dirigeants mondiaux, des décideurs politiques, des chercheurs et d'autres parties prenantes pour travailler sur la résolution de la crise climatique croissante et trouver des solutions aux défis posés par la transition vers une énergie verte.
Le Président Kagame a souligné que la pandémie de Covid-19 et la guerre Russo-Ukrainienne ont aggravé une situation déjà difficile, mais que le continent est en train de se redresser, et que de fil en aiguille, les opportunités d'investissement augmentent.
Il a ainsi appelé les acteurs mondiaux à prendre en compte les défis spécifiques de l'Afrique en matière d'énergie et à travailler ensemble pour surmonter les déséquilibres qui entravent le développement du secteur sur le continent.
Le sommet sur l'énergie de Columbia a servi de plateforme pour discuter des enjeux de l'industrie énergétique en Afrique et des solutions potentielles pour résoudre les problèmes d'accès à l'énergie, tout en s'attaquant à la crise climatique et en facilitant la transition vers des sources d'énergie plus propres et durables.
Le Rwanda a tourné son attention vers l'énergie nucléaire après s'être rendu c
Le Rwanda a tourné son attention vers l'énergie nucléaire après s'être rendu compte qu'à l'avenir, à mesure que les gens se développeront, ils auront besoin de plus d'électricité, alors qu'une grande partie de celle-ci provient des barrages hydroélectriques sur des cours d'eau, laquelle eau ne cesse de se réduire.
Considérant les barrages de Ntaruka, Mukungwa, Nyabarongo I, Nyabarongo II, Rusizi I, II, III et IV, il n'y a pas d'autres barrages que le pays envisage de construire.
Le Rwanda escompte produire 300MW à partir du gaz méthane, seuls 26 ont été extrait pour l'heure par le projet Kivu watt. 56 autres seront extraits par Shema Plant. Il faudrait en outre tenir compte qu'il arrivera un moment où le gaz méthane s'épuisera du lac Kivu.
Le président Kagame a déclaré que les pourparlers visant la production de l'energie nucléaire, sont sur une bonne voie, et devrait être mis en uvre le plus tôt possible car, d'une forte productivité énergétique dont le pays a besoin. Ce secteur viendrait par ailleurs soutenir d'autres investissements d'ores et déjà réalisés, tels que les barrages ou les usines à gaz.
Depuis fin 2018, le Rwanda est entré en coopération avec la Russie dans le but de développer l'énergie nucléaire.
Le chef d'État a relevé ces observations le mercredi 12/ avril/2023 lors de son intervention dans le cadre du 10e anniversaire du Columbia Global Energy Summit, un sommet sur les défis énergétiques mondiaux organisé par l'Université de Columbia, à New-York aux Etats-Unis.
Le Président Paul Kagame a aussi déclaré que le continent africain était ouvert aux investissements dans le domaine de l'énergie, étant donné que la majorité de sa population n'a pas accès à l'électricité. Cependant, il a souligné que l'amélioration de l'accès à l'énergie ne peut se réaliser que si les déséquilibres mondiaux dans le secteur sont pris en compte.
Le sommet auquel a pris part Paul Kagameest organisé par le Centre sur la politique énergétique mondiale (CGEP) de l'École des affaires internationales et publiques[Center on Global Energy Policy (CGEP) of the School of International and Public Affairs] de l'Université Columbia, a réuni des dirigeants mondiaux, des décideurs politiques, des chercheurs et d'autres parties prenantes pour travailler sur la résolution de la crise climatique croissante et trouver des solutions aux défis posés par la transition vers une énergie verte.
Le Président Kagame a souligné que la pandémie de Covid-19 et la guerre Russo-Ukrainienne ont aggravé une situation déjà difficile, mais que le continent est en train de se redresser, et que de fil en aiguille, les opportunités d'investissement augmentent.
Il a ainsi appelé les acteurs mondiaux à prendre en compte les défis spécifiques de l'Afrique en matière d'énergie et à travailler ensemble pour surmonter les déséquilibres qui entravent le développement du secteur sur le continent.
Le sommet sur l'énergie de Columbia a servi de plateforme pour discuter des enjeux de l'industrie énergétique en Afrique et des solutions potentielles pour résoudre les problèmes d'accès à l'énergie, tout en s'attaquant à la crise climatique et en facilitant la transition vers des sources d'énergie plus propres et durables.
Le Rwanda a tourné son attention vers l'énergie nucléaire après s'être rendu c
Le Rwanda a tourné son attention vers l'énergie nucléaire après s'être rendu compte qu'à l'avenir, à mesure que les gens se développeront, ils auront besoin de plus d'électricité, alors qu'une grande partie de celle-ci provient des barrages hydroélectriques sur des cours d'eau, laquelle eau ne cesse de se réduire.
Considérant les barrages de Ntaruka, Mukungwa, Nyabarongo I, Nyabarongo II, Rusizi I, II, III et IV, il n'y a pas d'autres barrages que le pays envisage de construire.
Le Rwanda escompte en outre produire 300MW à partir du gaz méthane, seuls 26 ont été extrait pour l'heure par le projet Kivu watt. 56 autres seront extraits par Shema Plant. Il faudrait en outre tenir compte qu'il arrivera un moment où le gaz méthane s'épuisera du lac Kivu.
Le président Kagame a déclaré que les pourparlers visant la production de l'energie nucléaire, sont sur une bonne voie, et devrait être mis en uvre le plus tôt possible car, d'une forte productivité énergétique dont le pays a besoin. Ce secteur viendrait par ailleurs soutenir d'autres investissements d'ores et déjà réalisés, tels que les barrages ou les usines à gaz.
Depuis fin 2018, le Rwanda est entré en coopération avec la Russie dans le but de développer l'énergie nucléaire.
Jean Jill Mazuru
Source : https://fr.igihe.com/L-afrique-a-l-aube-d-une-ere-nucleaire-Le-Rwanda-ouvre-la-voie.html
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