Cette décision est intervenue après l'examen d'une plainte déposée par le candidat Théodore Ngoy et un citoyen nommé Ehetshe Mpala David, qui réclamaient l'annulation de l'élection, arguant l'absence de preuves convaincantes.
La Commission Électorale Indépendante de la RDC (CENI) avait précédemment publié des résultats provisoires indiquant que Félix Tshisekedi, représentant de l'Union Sacrée, avait remporté l'élection avec 73,34% des voix. Moïse Katumbi se classait deuxième avec 18,08%, tandis que Martin Fayulu était troisième avec 5,33% des suffrages.
Malgré les contestations de Ngoy et Mpala demandant l'invalidation de ces résultats, le camp de Tshisekedi a soutenu que les élections s'étaient déroulées de manière équitable et transparente, conformément aux annonces de la CENI.
Le 8 janvier 2024, la Cour a entendu les arguments relatifs à cette plainte, au cours desquels le camp de Tshisekedi a également présenté des preuves affirmant la régularité et la légitimité du processus électoral.
Suite à la décision de la Cour qui a validé les résultats annoncés par la CENI, l'investiture de Félix Tshisekedi pour un second mandat est désormais prévue pour le 20 janvier 2024. Cette confirmation consolide la position de Tshisekedi à la tête de la RDC, et ouvre la voie à la poursuite de son programme politique pour le pays."
Bazikarev
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