Ces réfugiés, principalement issus des communautés ethniques Hema dans la région d'Ituri, des Tutsi dans le Nord-Kivu et des Banyamulenge dans le Sud-Kivu, dénoncent les attaques ciblées et les actes de cannibalisme perpétrés contre leurs compatriotes en RDC. Ils accusent les dirigeants du régime de Monsieur Tshisekedi ainsi que d'autres membres de la société de tenir des discours de haine et de xénophobie qui alimentent ces violences.
Après des années de souffrance dans les camps de Kiziba et Nkamira, situés respectivement dans les régions de Karongi et Nyabihu, ces réfugiés ont décidé de se mobiliser pacifiquement pour attirer l'attention sur la situation désastreuse dans leur pays d'origine. Ils demandent instamment au gouvernement de la RDC et à la communauté internationale d'intervenir d'urgence pour mettre fin à ces actes de génocide.
Il est important de souligner que parmi ces réfugiés se trouvent des individus ayant fui leur pays il y a plus de 28 ans pour échapper à la persécution et à la violence dans leur pays d'origine. Certains d'entre eux ont été témoins de crimes contre l'humanité et ont été victimes de traitements inhumains, y compris des actes de cannibalisme.
La communauté internationale est appelée à agir rapidement pour protéger ces réfugiés et mettre fin à la violence et aux atrocités qui se déroulent en RDC.
Bazikarev
0 Commentaires