Une dizaine d'organisations des droits de l'Homme demandent au chef de l'Etat, Félix Tshisekedi, de fermer tous les cachots clandestins non inspectés par le ministère public, conformément à sa promesse de campagne électorale de 2018.
Cette requête est consécutive à une série de plaintes de membres de familles de victimes arrêtées et gardées dans ces cachots et qui font l'objet d'enquêtes par ces organisations.
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