"Les paroles de Vital Kamerhe reflètent de bonnes intentions, mais pour les concrétiser, il faut un collectif budgétaire," a déclaré Muteba.

Il souligne que sans une modification officielle de la loi de finances de 2024, les propositions restent de simples déclarations sans effet pratique.

L'ODEP a officiellement contesté les déclarations de Kamerhe et appelle à une action législative pour refléter les changements proposés. "La loi ne se change pas par des paroles. Ce sont de bonnes intentions, mais pas la réalité, car la réalité se traduit par la modification de la loi de finances de 2024," a ajouté Muteba.

Pour certains, Kamerhe doit faire face à de multiples défis pour transformer ses promesses en actions concrètes.

La nécessité de passer par le processus législatif pour apporter des modifications budgétaires pourrait aboutir à des réformes financières avec la nécessité d'une collaboration étroite entre différents acteurs gouvernementaux et institutions.

La suite de cette affaire est attendue avec impatience, alors que les observateurs et les acteurs politiques scrutent la capacité de Kamerhe à naviguer dans les méandres législatifs pour concrétiser ses ambitions réformatrices.

La révision de la loi de finances de 2024 sera un indicateur clé de son succès ou de son échec à mettre en œuvre des changements significatifs.

vital kamerhe, président de l'assemblée nationale en République Démocratique du Congo

Bazikarev



Source : https://fr.igihe.com/Remise-en-cause-des-intentions-de-Vital-Kamerhe-par-rapport-a-la-revision-de-la.html